Simeyrols

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Simeyrols
Simeyrols
La mairie de Simeyrols.
Blason de Simeyrols
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fénelon (nouvelle)
Maire
Mandat
Jean-Pierre Planche
2020-2026
Code postal 24370
Code commune 24535
Démographie
Gentilé Simeyrolais
Population
municipale
254 hab. (2021 en diminution de 1,93 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 31″ nord, 1° 20′ 33″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 286 m
Superficie 9,26 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Simeyrols
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Simeyrols
Liens
Site web simeyrols.fr

Simeyrols est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Simeyrols est une commune rurale[1]. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda[2], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda dont elle faisait partie.

Desservi par la route départementale (RD) 47 et à proximité de ses intersections avec les RD 61 et 61b, le petit bourg de Simeyrols se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'est du centre-ville de Sarlat-la-Canéda et autant à l'ouest de celui de Souillac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Simeyrols est limitrophe de cinq autres communes dont Sainte-Nathalène à l'ouest sur 220 mètres.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Simeyrols est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j4-5(Lz), date du Callovien à l'Oxfordien, composée de calcaires oolithiques roux (formation de Leyze), à crème parfois blanc graveleux en plaquettes, à oncolithes, spongiaires, polypiers, trocholines et grands foraminifères (chablaisia) et hydrozoaires (cladocoropsis). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 808 - Sarlat-la-Canéda » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique de Simeyrols.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Vue sur les bois à l'est de Simeyrols et sur la carrière d'Orliaguet, depuis le lieu-dit Magril.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 134 mètres[7] à l'est, là où la Borgne quitte la commune et entre sur celle de Pechs-de-l'Espérance (territoire de l'ancienne commune d'Orliaguet), et 286 mètres[7] au nord-est, au nord du lieu-dit les Plaines[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,26 km2[7],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,46 km2[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Simeyrols.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Borgne et le ruisseau de Merdansou et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[16],[Carte 1].

Affluent de rive gauche de l'Énéa et sous-affluent de la Dordogne, le ruisseau de Merdansou, appelé le Mianson dans sa partie amont, prend sa source dans le nord de la commune et longe la limite territoriale au nord-ouest sur deux kilomètres et demi.

La Borgne, ruisseau affluent de rive droite de la Dordogne, borde la commune à l'est sur 500 mètres, face à Pechs-de-l'Espérance (territoire de l'ancienne commune d'Orliaguet).

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Salignac-Eyvigues à 7 km à vol d'oiseau[22], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le site « Coteaux calcaires de Borrèze » qui fait partie du réseau Natura 2000, s'étend sur 416 hectares sur le territoire de trois communes : Borrèze, Salignac-Eyvigues et Simeyrols[26],[27]. Douze espèces animales y ont été recensées dont le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), papillon inscrit à l'annexe II de la directive habitats de l'Union européenne. Vingt espèces végétales y ont aussi été répertoriées. Simeyrols est concernée marginalement par cette zone sur près de dix hectares, au nord du lieu-dit les Plaines[27].

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Plus d'un quart du territoire communal — toute une partie au nord et à l'est de la commune — fait partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II Secteur forestier de Borrèze qui s'étend sur treize communes (dix en Dordogne et trois dans le Lot)[28],[29]. Deux espèces déterminantes de plantes ont été recensées sur cette ZNIEFF[29] : l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana) et la Leuzée conifère (Rhaponticum coniferum), ainsi que 87 autres espèces végétales.

Le site « Coteaux calcaires du secteur de Borrèze »[30] qui s'étend sur 535,72 hectares, sur les territoires de Borrèze, Salignac-Eyvigues et Simeyrols, est une ZNIEFF de type I incluse dans la précédente ; 44 espèces déterminantes de plantes phanérogames, et une de reptiles y ont été répertoriées[30]. Simeyrols est concernée marginalement par cette zone de près de dix hectares, au nord du lieu-dit les Plaines[31], identique à celle du site Natura 2000 « Coteaux calcaires de Borrèze ».

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Simeyrols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[32],[33],[34].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,3 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %)[37]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Simeyrols est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Simeyrols est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Simeyrols.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 35,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[45].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[38].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Simeyrols est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[46].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Simeyrols est l'adaptation en français du toponyme occitan Cimairòls (si'mei:rɔl)[47].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Cimeyrol[48].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001[51] mai 2020 Vincent Flaquière Apparenté PS[52] Retraité
mai 2020 En cours Jean-Pierre Planche    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Simeyrols relève[53] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].

En 2021, la commune comptait 254 habitants[Note 6], en diminution de 1,93 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
352275333332350368362374367
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
388396406412404425383406407
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
405406408403402306266231195
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
153160180162185189199213235
2014 2019 2021 - - - - - -
250254254------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 114 personnes, soit 44,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a diminué par rapport à 2010 (dix-neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,9 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte trente-deux établissements[58], dont dix-sept au niveau des commerces, transports ou services, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans la construction, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie[59].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Simeyrols Blason
D'or à trois monts isolés de trois coupeaux de sinople ; au chef d'azur chargé d'un goupillon dans son seau d'or.
Détails
Adopté par la municipalité.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Simeyrols » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. Aire d'attraction des villes 2020 de Sarlat-la-Canéda (233), Insee, consulté le .
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Simeyrols » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Simeyrols », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 808 - Sarlat-la-Canéda de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Simeyrols », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Simeyrols », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. « SAGE Dordogne amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
  18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  22. « Orthodromie entre Simeyrols et Salignac-Eyvigues », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  24. « Station Météo-France « Salignac-Eyvigues » (commune de Salignac-Eyvigues) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  26. [PDF] FR7200676 - Coteaux calcaires de Borrèze, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  27. a et b Carte du site FR7200676, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  28. [PDF] - Secteur forestier de Borrèze (Identifiant national 720008196), Comité des inventaires Aquitaine, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  29. a et b Carte de la ZNIEFF 720008196, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  30. a et b [PDF] - Coteaux calcaires du secteur de Borrèze (Identifiant national 720030097), GEREA, CBNSA (J.- C. Abadie et S. Bonifait), OAFS, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  31. Carte de la ZNIEFF 720030097, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  32. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  34. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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